• L’âge passe et le corps s’affaiblie ; il y a cependant de quoi faire pour l’aider à se maintenir en santé.
• L’arthrose a bon dos ! Toute douleur ou blocage n’est pas dû à l’arthrose, des dysfonctions -comme chez tout adulte- peuvent en être la cause. Et même si arthrose il y a, il est possible de ralentir son évolution, d’aider le corps à vivre et de faciliter les mouvements.
• De plus, chaque organe se fatigue lui aussi. En relançant la circulation locale et générale et en redonnant du mouvement -de la vie-, le fonctionnement du corps dans son ensemble n’en sera qu’amélioré.

Même si cela ne leur est pas réservé, force est de constater que les seniors constituent une typologie de patients très concernée par la question des douleurs.

Selon toutes les études, trois seniors sur quatre souffriraient de douleurs chroniques et celles-ci touchent à plus de 80% l’appareil locomoteur (articulations, muscles…).

 

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Même si cela ne leur est pas réservé, force est de constater que les seniors constituent une typologie de patients très concernée par la question des douleurs.

Selon toutes les études, trois seniors sur quatre souffriraient de douleurs chroniques et celles-ci touchent à plus de 80% l’appareil locomoteur (articulations, muscles…). Alors qu’en 2050, la population de 65 à 85 ans sera multipliée par trois et le nombre de personnes de plus de 85 ans sera multiplié par sept (source OMS), ces douleurs deviennent donc un enjeu de santé public !

Cette lutte contre les douleurs liées à l’âge est donc une réalité bien connue des patients et malheureusement peu de solutions leur sont offertes car beaucoup de médecins s’avouent démunis. Souvent la question se termine par de la prescription de médicaments et pour les plus chanceux par des séances de Kiné.

Les analyses officielles les plus objectives constatent que concernant les seniors (expliquant leur découragement face à des phrases entendues du type « Votre dos est complètement usé, on ne peut plus rien faire ! », « vous êtes rempli d’arthrose, il n’y a pas de solution ! », « vous êtes âgé, c’est normal d’avoir mal ! »…) l’ostéopathie apparait comme faisant baisser les douleurs chroniques de 50% en moyenne et diminuant de 37% la consommation d’antalgiques.

La loi et les décrets qui ont règlementé la profession et la formation des Ostéopathes ont contribué à ce que les « oppositions » d’hier entre médecins et ostéopathes soient dépassées et des collaborations complémentaires ont pu de plus en plus se développer au bénéfice des patients, y compris dans des structures hospitalières.

Les douleurs liées à l’âge sont en effet une réalité, pour laquelle l’Ostéopathie est de plus en plus sollicitée, dans une démarche personnelle ou organisée, sans remettre en cause les missions des médecins ou kinésithérapeutes en liens avec les structures d’accueil, d'hébergement ou de soins de personnes âgées !

Les années passent et, inexorablement, les ligaments perdent de leur élasticité, les cartilages s’usent et s’amincissent. Cette évolution physiologique naturelle peut entrainer des douleurs articulaires, des difficultés motrices… La réalisation des gestes simples de la vie quotidienne devient donc difficile. Que peut apporter l’ostéopathie face à cela?
Cette pratique complémentaire consiste à prévenir, tester et traiter les dysfonctionnements mécaniques du corps par des techniques de mobilisations et de manipulations des articulations, muscles, viscères...

L’ostéopathe DO, diplômé à l’issue d’une formation longue, véritable « mécanicien de l’organisme », pose un diagnostic et va permettre au corps de s’user moins en fonctionnant mieux :

A titre préventif :
Pour garder l’analogie avec la mécanique, pour la voiture attend-on toujours que le moteur fume pour aller voir le mécano? Non… Donc pourquoi traiter mieux sa voiture que son corps? Celui-ci ne pourra pas être changé, il nous faut vieillir avec lui…
La prévention consiste donc à diagnostiquer et stabiliser les zones de faiblesse du corps, d’optimiser les facultés de mobilité, de coordination gestuelle et de minimiser les risques de chutes. Ceci permettra de retrouver un confort fonctionnel au quotidien (marche, sport, activités culturelles et familiales). Le traitement s’accompagnera de conseils et d’étirements.
Pas plus de 2 à 3 consultations/an sont recommandées.

A titre curatif :
Il s’agit là a minima de soulager les douleurs et difficultés installées, anciennes ou récentes dont les plus fréquentes sont:
- Douleurs vertébrales : lombaires, dorsales, cervicales ;
- Douleurs articulaires diverses : Hanche, genou, épaule…
Mais aussi :
- Névralgies : Sciatique, cruralgie, canal lombaire étroit…
- Traumatismes : chute, accident de voiture…
- Diminution de la mobilité
- Troubles du sommeil, stress, anxiété…
- Troubles du transit

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